O R P H E L I N E
Le père n’ est plus, la mère est morte !
Mon Dieu, l’âme en peine, "litima" supporte !
Ce destin, ce dessein écrit enfant orpheline.
Elle souffre , mais se plie à la force divine.
Elle s’accroche, elle survit, l’enfantine !
De courage, de stoïque fierté, ne s’encline !
Elle garda, sa bonne mine, soigna ses racines,
Adorable, aimable, belle, joviale et câline !
Elle est ce rubis, ce joyau, bijou féminine.
Elle embaume ses amis, offrant aubépines.
Sur ses lèvres, un sourire magnanime.
Pleine d’amour, telle une vague marine !