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A la fourbe

Voyons, me dit-elle, que fais-tu au chat ?

Cette apostrophe avilissante, m’amocha.

Sacredieu, question qui me désenchanta.

Moi aspirant à l’amitié, elle me dérouta.

Quoi, je restais, ébaubi aux propos insanes,

Outre de colère, mesquinement; mélomane,

Moi l’écrivaillon, le verbeux gaudriole.

J’abhorre ledit écart, lancé au vitriol.

Ton docte entretien, puisé dare-dare,

Ta désolation plaintive, me laisse hagard,

M’ébranle et je ne suis pas un ringard.

La nuit porte conseil, dis-je, honni cafard.

Ce pamphlet accouché pour ma plaisante,

Y trouvera mots et passim, Ô l’attirante.

Oyez, nos noms s’embrassèrent « fi samae »

Avant de descendre sur terre, chère Asmae !

J’aime à dire, tes traits et ta « hafrate zine »

M’embaument, me dis, «achdak lezine?»

Je m’ébahis, hébété, Moi le mesquine !

Je rime ces iambes, muse que je taquine.




Salé, le 03 Mars 2010 à 02h 30 de relevée

Commentaires

  • Vraiment ce poeme m'a beaucoup plu et c'est nettement mieux . Vraiment un plaisir de vous relire.

  • Bonne chance!

  • Bonjour, comme promis je viens de consulter ton blog tes écrits sont très interessants. Merci de m'avoir invité à les lire dans l'attente de lire ton ouvrage qui contiendra toute ces merveilles. Au plaisir de lire plus

  • Achdak temchi lezine, ountaya Rjel meskine....
    gaa3 hada zher 3end lfkeh ;-)))

    Tu es versé mon cher ami.

  • D’une part, tel un novice, je balbutie mes remerciements à Madame Asmae pour sa gentillesse de venir consulter ce poème. Et d’autre part j’ânonne pour remercier du regard Serap.

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