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Virgine



  Virgine!

La ruelle est sombre,ni cierges,ni candélabres !
Sans lumière,sans oeillets ,sans arbres !
Vint  la douce virgine aux boucles dorées !
L’enflammer,l'égayer,l’embaumer,l’éclairer !
Elle  envirgina ses mies, amis et les présents !
Dans cette impasse ci-prés de la maison !
Je songeais, rêver qu’elle fut au balcon !
Lui chanter une sérénade, timide et rubicond !
De grâce ,acceptez ces vers ,ces murmures !
Sortant du cœur d'un décati qui les susurre   !
Tes amis te bénissent, t’estiment Virgine !
T’idolâtrent , te chérissent , tu l’es digne !


                          Salé, le 30 juillet 2005 à 7h15 de relevée
Ce poeme a été rimé lors d une occasion de mariage d'un membre de la famille résidant à Paris,ville des lumieres.Virgine est une charmante et gentille française.Des invités français et Algériens de souches ,tous souriants et aimables,étaint aussi parmi les conviés.Les presents à cette féerique fête m'ont demandé de poétiser des vers en son honneur.Avant  de les rythmer,j'ai dis à Virginie"Je ne suis pas de ceux qui disent,des ongles vernis en rose,   d'une charmante et jolie parisienne ,que ce sont des griffes" Je lui volais et cultivais un large sourire qui        s'afficha ,sans que ses lèvres ne soient rebelles.Ses yeux acompagnant le geste des "charnues"  n'était pas ce que   j'appelle le pince-sans-rire!c'était un vrai sourire!

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