Tes fourberies, j’y cédais assez.
Tes tartuferies, l’âme est blessée.
Sache ô sorcière, ô vraie Circé.
Ô tireuse de cartes, ô froissée !
A tes moult alibis ! M’affaisser ?
Nenni, je ne suis émoussé !
A tes chicaneries ! M’abaisser ?
Nenni, des salades dépassées !
A tes auto accusations faussées ?
J’évite aux baratins, de penser.
J’obvie à mon cœur, transpercée.
Oublier malheur, pour n’en pincer
Telle mère, que père a délaissé.
Je te renie ! D’Hui tu es divorcée !
Salé, le 09.09.10